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La presse saison 2019-2020

Pont de l’Iroise HB Léo Le Boulaire : « Un nouveau challenge pour moi »

Léo Le Boulaire a rejoint le Pont de l'Iroise HB pour prendre du plaisir. (Photo Pierre-Hakim Ouggourni)

Passé en un été de la première à la sixième division de handball, Léo Le Boulaire, originaire de Châteaulin, explique les raisons de sa signature au Pont de l’Iroise HB.

Passer de D1 à Prénationale, ce n’est pas commun. Quelles sont les raisons de ce choix ?

J’étais à un moment de ma carrière où je me suis questionné sur la suite à donner. Si je repartais sur un autre projet, il fallait que celui-ci soit emballant. Il fallait que je me projette sur du long terme. Je voulais reprendre mes études. J’ai la chance de pouvoir avancer sur un diplôme d’ingénieur. C’est un cursus de trois ans. C’est un nouveau challenge pour moi.

C’était une décision de Cesson de ne pas reconduire votre contrat ?

Il y a quelques mois, on était en discussion pour une reconduction. On s’était mis d’accord. Mais le fait que le club ne se maintienne pas a fait capoter l’affaire. Ils m’ont dit qu’ils n’avaient plus les moyens de me proposer un contrat. J’ai dû réagir rapidement. La manière dont les choses se sont passées fait qu’on le vit plus ou moins bien. Mais je n’ai aucun regret et je ne suis pas déçu. Je suis emballé par mon nouveau projet.

Pourquoi avoir choisi le Pont de l’Iroise Handball ?

Je suis à l’école à Brest. C’était le meilleur compromis. J’avais envie de jouer. C’était également le moyen de redécouvrir le handball comme un loisir et plus comme un travail. Je voulais retrouver le plaisir que je n’ai pas forcément toujours eu sur les dernières années. Ici, on est dans un cadre différent de celui d’une structure professionnelle où il y a une attente de résultats.

Vous ne vouliez pas retourner chez vous à Châteaulin ?

J’y ai réfléchi. Mais j’ai fait le choix de venir ici pour avoir moins de route à faire. J’aurais sans doute beaucoup de travail avec l’école et je n’avais pas envie de faire 1 h 30 de route, trois ou quatre fois par semaine, pour aller à l’entraînement. Je ne voulais pas investir ce temps-là dans les trajets.

Qu’est-ce qui change par rapport à ce que vous avez connu à Cesson ?

On passe de deux entraînements par jour à trois par semaine. Le changement de rythme est soudain. Ça laisse du temps pour réviser (sourire). Les journées sont plus remplies. Quand j’étais professionnel, je m’entraînais de 10 h à midi et de 16 h à 18 h. Le reste du temps, j’étais libre.

Avez-vous le sentiment d’être une curiosité pour vos partenaires ou vos adversaires ?

Forcément. Les gens savent qui je suis et connaissent mon parcours. Je n’ai pas de problème avec ça. Je pense être assez humble.

Quels sont vos meilleurs souvenirs à Cesson et au cours de votre carrière professionnelle ?

On a fait un final four en Coupe. C’était un des moments marquants. Sinon, ce sont principalement des rencontres. J’ai créé des amitiés fortes. C’est ce que je retiens.

Aujourd’hui, avez-vous fait une croix sur le monde professionnel ?

Je ne m’interdis rien. Si on m’appelle demain pour me proposer quelque chose, j’écouterai ce qu’on a à me dire.

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